Vapeur, refroidissement et condensat : de l’eau est utilisée à chaque étape du process

Dans ces centrales électriques, le charbon, le pétrole, le gaz, l’énergie nucléaire ou les énergies vertes telles que la biomasse et la géothermie servent de vecteur énergétique. Les centrales thermiques fonctionnent avec un circuit thermodynamique, dans lequel l’eau d’alimentation de chaudière est transformée en vapeur qui entraîne ensuite des turbines produisant l’électricité. La vapeur peut aussi être utilisée directement pour chauffer des bâtiments ou dans des process industriels. La vapeur consommée est ensuite refroidie et forme un condensat liquide. Ce condensat est reconduit dans la chaudière afin de relancer le circuit thermodynamique. En plus de ce circuit d’eau d’alimentation de chaudière, qui constitue son process central, une centrale thermique nécessite également des systèmes de traitement de l’eau d’alimentation (osmose inverse, échangeurs d’ions), un système de refroidissement par eau, un système d’épuration des fumées et bien sûr un système de surveillance des eaux usées.

Surveillance des installations photovoltaïques

Les installations photovoltaïques modernes comportent deux composants de base :

le champ photovoltaïque de panneaux solaires pour transformer l’énergie solaire rayonnée en énergie électrique et un système d’onduleurs qui transforme le courant continu des panneaux solaires puis l’injecte dans le réseau de courant alternatif.

Les grandes installations sont souvent réalisées avec des onduleurs centraux.

Ces grands onduleurs disposent d’une puissance d’environ 500 kW, extensible de façon modulaire jusqu’à 40-50 MW.

Alors qu’il y a quelques années encore les champs délivraient une tension système de 1 000 V et des courants de plusieurs centaines d’ampères, ils génèrent aujourd’hui généralement des tensions de 1 500 V.

Les onduleurs correspondants doivent donc présenter une tension d’entrée maximale de plus de 1 500 V.

Solution pour la production d’Hydrogène

Surveillance de la tension à des fins de diagnostic
Afin de détecter les défauts et les signes d’usure sur l’électrolyse ou les piles à combustible, il est nécessaire de mesurer en continu et avec précision les tensions des piles et des chaînes. 
Parfois, les tensions au niveau des sous-unités des piles sont également mesurées. 
Dans ces cas, les tensions mesurées sont plus faibles, mais des différences de potentiel élevées apparaissent en raison du câblage. 
En conséquence, les transducteurs doivent être hautement isolés. Il est également nécessaire de surveiller les courants et les températures. 
Pour ce faire, les transducteurs utilisés doivent non seulement répondre à des normes élevées de précision et d'isolation robuste, mais également être sûrs et sans entretien.
 Étant donné que les électrolyseurs sont installés dans des conteneurs à proximité de parcs éoliens ou de centrales photovoltaïques,
 généralement installés dans des endroits éloignés, la disponibilité du système dépend dans une large mesure de la fiabilité de la technologie de mesure.